Sunday, April 12, 2009

Shhhhh!! mon coeur est en pause!

Humectez-moi les babines que je vous recherche dans les sables mouvants électriques de nos êtres tapissés de bleu ciel. J’accours en ta direction inversé par les chevreuils de course qui galopent sous les chameaux volatiles. Crie-moi ton impuissance que je gobe ta chaleur refroidissante sous les couvertures enneigées de toi. Pleurésie faciale, tu nous embrases le popotin des courges spatiales en nos têtes de fluidité cartésiennes. Je mange, tu ries, nous dégoulinons par-dessus les atmosphères créées de toutes pièces. Mon kangourou de cou n’est pas dans le coup du tout. Effleures-moi encore, comme une fleur de fuite espionnant la nature des hélicoptères de grisailles desséchées. Murielle, envoie-moi une carte postale de ton chien engorgé de sangsues épileptiques. Bon, assez joué dans les cratères de ma peau gluante. C’est à ton tour de prendre du poids en jouant à la marelle en castagnettes. Comme un oiseau, comme un wagon de pierres qui brillent dans le noir et dans mes sourcils. Jugez-nous comme vous le respirez, mais j’attache de l’importance utile à tes argents de cœur d’artichaut ou d’artistes chauds.